我搜索书的文本,而不是书名或作者。
我有几个 epub 文件,但在文本之前的 html 文件中都有不同的关键字。
你有一些我应该寻找的信息吗?或一些好的文件?
是吗:
</head>
<body>
我在下面提供了一些示例:
示例 1:以“致爱的人....”开头的文本
<?xml version="1.0" encoding="utf-8"?>
<html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xml:lang="en">
<head>
<meta name="generator" content=
"HTML Tidy for FreeBSD (vers 7 December 2008), see www.w3.org" />
<title>The Adventures of Sherlock Holmes</title>
<link rel="stylesheet" href="css/main.css" type="text/css" />
<meta http-equiv="Content-Type" content=
"application/xhtml+xml; charset=utf-8" />
</head>
<body>
<div class="body">
<div class="text">
<p>"To the man who loves art for its own sake," remarked Sherlock
Holmes, tossing aside the advertisement sheet of the Daily
Telegraph,
示例 2:以“D'habitude, Éric n'aimait pas être dérangé...”开头的文本
<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?><!--?xml version="1.0" encoding="utf-8" standalone="no"?--><!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.1//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml11/DTD/xhtml11.dtd"><html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xml:lang="fr">
<head>
<link href="../Styles/UPstyles.css" rel="stylesheet" type="text/css"/>
<title>La Voisine</title>
<style type="text/css">
div.sgc-3 {text-align:center}
</style>
</head>
<body>
<p><br/></p>
<p>D’habitude, Éric n’aimait pas être dérangé. On aurait pu lui objecter que mettre de l’inattendu dans sa vie, en cette période de désœuvrement, pouvait s’avérer intéressant, mais Éric Aubray, paradoxalement, ne détestait pas s’ennuyer. L’ennui procurait un certain confort. L’absence d’illusions également. Allongé sur son divan de cuir râpé, aspirant voluptueusement la fumée d’une cigarette qui le tuerait à petit feu dans un laps de temps qui l’indifférait, il s’irrita donc du remue-ménage qui éclatait sur son palier. L’appartement d’en face, un meublé, était inoccupé depuis des mois. Ça l’arrangeait plutôt. Ce bruit de caisses tirées, de raclement de valises et de piétinements indiquait de possibles emmerdes à venir. Or il en avait eu son lot, ces derniers temps. Un licenciement sec (il y en avait rarement d’humide…), un divorce, et un compte en banque qui frôlait le zéro absolu (cela allait souvent de pair avec les deux précédents événements) – que demandait le peuple ? Qu’on lui foute la paix.</p>
<p>Or cette paix risquait d’être menacée par un voisin importun. Éric n’éprouvait nulle envie de se confier. Ni à un voisin, ni à un psy, encore moins à sa mère dépressive ou à son meilleur ex-ami, Maxence, qui conservait sans vergogne son poste de bibliothécaire en chef, le poste de bibliothécaire adjoint – celui d’Éric – venant d’être supprimé pour cause de crise mondiale en général, et de compression du personnel de la ville – à un niveau plus local.</p>
<p>Éric regrettait l’ambiance feutrée de cette petite bibliothèque de quartier, fréquentée surtout par des étudiants et des retraités. L’odeur de papier, les lampes protégées par des abat-jour d’opaline, les chuchotements des habitués… Tout cela le rassurait. La moquette était usée jusqu’à la corde, les rayonnages auraient eu besoin d’un ravalement, mais les bruits de la ville, dans ce lieu, parvenaient à peine, étouffés par les doubles-vitrages. Un petit kiosque, aux arbres un peu malingres, tentait de susciter, au printemps, une certaine illusion de campagne. Même si, tout compte fait, l’attirance du jeune homme pour la chlorophylle restait toute virtuelle.</p>
<p>Dans son appartement,